Présentation Blockchain & Droit – Le règne du code

19 juin 2019

Jeudi 27 Juin 2019

Primavera De Filippi

dédicace son ouvrage

à partir de 18h30

Présentation à 19h

Depuis son lancement en 2009, Bitcoin a été à la fois célébré comme la dernière merveille d’Internet ou décrié comme l’instrument privilégié de tous les criminels. Il a laissé perplexe pratiquement toute personne n’ayant pas fait au moins Polytechnique : comment diable peut-on fabriquer de la monnaie en « minant » des uns et des zéros ?
La réponse, on la trouve dans une technologie appelée blockchain, un outil à usages multiples permettant de créer des applications sécurisées, décentralisées, pair à pair.

Les Blockchains sont utilisées pour créer des programmes informatiques appelés « smart contracts », pour effectuer des paiements, pour créer des instruments financiers, pour gérer des échanges de données et d’information et pour rendre plus faciles les interactions entre les hommes et les machines.

Ces smart contracts sont une nouvelle génération de contrats numériques qui peuvent influencer les contrats légaux existants ; modifier le mode de gouvernance des entreprises, voire favoriser l’émergence d’une nouvelle génération d’organisations posant des défis redoutables tant aux juristes qu’aux entreprises et aux gouvernements.

Primavera De Filippi et Aaron Wright confirment le potentiel de cette technologie, ses atouts et ses risques et plaident qu’il est urgent que la législation rattrape son retard parce que la désintermédiation – un des principaux apports de la blockchain – bouleverse des réglementations vitales. En court-circuitant les intermédiaires, tels que les grands opérateurs en ligne ou les multinationales, les blockchains font courir le risque de saper la capacité des autorités publiques à garder le contrôle dans les activités bancaires, le commerce, l’établissement des lois ou d’autres domaines critiques.

De Filippi et Wright saluent les nouvelles opportunités créées par les blockchains. Mais ainsi que Blockchain & Droit le démontre parfaitement, cette technologie ne pourra pas être domestiquée efficacement sans de nouvelles approches dans le domaine juridique.


Présentation et débat autour de “Diplomaties étrangères en mutation”

6 juin 2019

Mercredi 19 juin 2019

à partir de 18h30


dédicace de l’ouvrage


19h00

Débat
animé par

Vincent KLASSEN

Ministre-Conseiller à l’Ambassade du Canada à Paris

quatre des contributeurs de l’ouvrage

Guibourg DELAMOTTE

(IFRAE, Inalco, Université de Paris, CNRS)

John KEIGER

(Université de Cambridge)

Giovanni CARACCIOLO DI VIETRI

(ancien Ambassadeur d’Italie à Paris)

Maurice VAÏSSE

(Professeur émérite)

Connaissez-vous la Farnesina, le MID, l’Itamaraty ? Ces noms mythiques sont ceux des ministères italien, russe, brésilien des Affaires étrangères, dont le portrait est tracé dans cet ouvrage avec ceux de l’Allemagne, du Canada, de la Chine, des États-Unis, du Japon, du Royaume Uni et de la Turquie. Car on parle de politique étrangère, de relations internationales et on méconnait généralement les acteurs et les outils diplomatiques.

Après le portrait du Quai d’Orsay, dressé dans Diplomatie française, acteurs et outils depuis 1980 (Odile Jacob, 2018), il semblait indispensable d’étudier les principales diplomaties étrangères.

Or, celles-ci, confrontées à la mondialisation, ont subi de profondes transformations au cours de ces quarante dernières années, comme le Quai d’Orsay.

Au-delà de la description des institutions, cet ouvrage permet ainsi d’analyser les défis que ces diplomaties doivent relever, en particulier la prééminence des chefs d’État ou de gouvernement, et les réponses divergentes : d’un côté, des diplomaties occidentales affectées par des coupes budgétaires et un déclin des diplomates dans l’appareil d’État, de l’autre, des diplomaties des États émergents, pour lesquels elles sont un instrument de puissance. Il s’agit donc d’une plongée fascinante dans le monde discret des chancelleries.

Vous pouvez vous inscrire sur la page de l’évenement


Biographie de Myriam Harry, grande reporter et première lauréate du prix femina

23 avril 2019

Mardi 28 Mai

A 18h30

Cécile Chambard-Gaudin présente sa biographie de Myriam Harry, grande reporter et première lauréate du prix femina, récemment publiée aux Editions Turquoise.

L’orient dévoilé

Sur les traces de Myriam Harry

Grande reporter au Moyen Orient dont elle documente méthodiquement l’histoire, elle connaitra un important succès pour ses nouvelles et romans. Le refus du jury Goncourt d’attribuer son prix à un “jupon” conduira à la création du prix Femina en 1904 par des femmes écrivaines.
Elle sera la première lauréate de ce prix et y siègera en tant que jurée pendant près de cinquante ans.

Vous pouvez retrouver plus d’informations sur la page Facebook de l’évènement.


Exposition : ici ou ailleurs – Priscille

A partir du 12 Avril

La librairie Pedone accueille dans ses locaux

L’exposition “Ici ou ailleurs”

des photographies de Priscille Pedone

Plus « images » que « photographies », cette exposition invite à voir le quotidien tel qu’il est … lorsqu’il est détourné. L’approche ne s’impose pas pour l’éternité mais l’instant invite à envisager le quotidien différemment. Prises en chemin, elles cherchent à vous faire voyager sans destination, sauf celle que vous voudrez lui donner. Pour rester sur terre, la légende indique le lieu de la prise de vue, mais aura-t-elle encore une importance ?

 

Priscille a un appareil photo entre les mains depuis ses 15 ans.
Une fois passée au numérique, elle y a trouvé un moyen de communiquer de manière spontanée par l’image affranchie des mots.
Son œil s’est construit avec la peinture.
Spectatrice dans les musées parisiens depuis son plus jeune âge en suivant sa mère conférencière des musées, les couleurs, les courbes et la représentation du réel par le pinceau ont très tôt fait partie de son quotidien.
Ses voyages l’ont conduite à capter ce qu’elle reconnaissait dans l’inconnu, et à dévoiler ce qu’il y a de touchant et de poésie dans le connu.
Elle ne revendique pas être « photographe » et considère que ses « photos » ne se rangent pas parmi la « photographie ».
Ses photos se veulent davantage être des « images » à boire/voir sur le moment du quotidien détourné.
Une façon de dire, une façon de voir avec le langage de « tous les jours ».

Vous pouvez retrouver plus d’informations sur la page Facebook de l’évènement, et davantage de photos sur le site de Priscille.


Rencontre avec l’Anaristopathe autour de l’œuvre de Pierre Michon

20 avril 2019

Samedi 18 Mai

A 17h30

La librairie Pedone vous a invité à rencontrer la revue photographique et littéraire

l’Anaristopathe

Autour de l’œuvre de Pierre Michon “Vies minuscules”

présenté par Eric Morin


et Jean Christophe Cochard

L’idée était d’aller voir en son lieu, dans sa maison natale, l’écrivain Pierre Michon et de témoigner du fait d’Habiter une œuvre telle que Vies minuscules. Se poser la question : « Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » (Alphonse de Lamartine).

 

Vous pouvez retrouver plus d’informations sur la page Facebook de l’évènement.


Elsa Brandström, L’Ange de Sibérie

Mercredi 22 Mai

A 18h30

Venez découvrir le parcours d’Elsa Brändström (1888-1948), surnommée « L ’Ange de Sibérie » pour son engagement héroïque au sein de la Croix-Rouge pendant la Première Guerre mondiale.

Sa biographie traduite du suédois et annotée par Mathis Ferroussier sera présentée
à la librairie par Lucie Marignac.

Elsa Brändström

L’Ange de Sibérie

« L ’Ange de Sibérie », c’est ainsi que l’on surnomma la Suédoise Elsa Brändström (1888-1948)pour son action héroïque pendant la Première Guerre mondiale.
Elsa vit avec son père diplomate à Saint-Pétersbourg quand la guerre éclate en juillet 1914. Face aux injustices et aux atrocités de la guerre, elle s’engage dans la Croix-Rouge. Elle part en Sibérie, risquant sa vie pendant six années pour porter secours à près de trois millions de prisonniers de guerre de toutes nationalités. Elle recueille également leurs témoignages dans un livre, publié en 1921.
Son dévouement lui valut une reconnaissance mondiale. Dans les années 1920, elle fonda en Allemagne une maison de repos et de réinsertion pour les prisonniers de retour au pays,puis une maison d’accueil pour les orphelins de guerre. Elle s’exila ensuite aux États-Unis en 1934 pour fuir l’Allemagne de Hitler, et consacra ses dernières forces à sauver ceux que les usines de la mort menaçaient.
Cette biographie, publiée pour la première fois en France,permet de découvrir le destin héroïque d’Elsa Brändström, à travers un portrait plein d’humanité et de tendresse

Lucie Marignac est ancienne élève de l’École normale supérieure (Paris), agrégée de lettres et docteur en littérature comparée, ancienne pensionnaire de la Fondation Thiers. Elle a publié des traductions du moyen français, de l’anglais, de l’allemand et de l’italien, en littérature, histoire et histoire de l’art.

Vous pouvez retrouver plus d’informations sur la page Facebook de l’évènement.


Conférence “Séduction et peur des images”

Samedi 16 mai

de 18h30 à 20h

« Séduction et peur des images »

Co-organisée par l’ENM et les éditions Dalloz


La conférence, basée sur les travaux publiés dans le dernier numéro des Cahiers de la Justice, répondra à la problématique suivante : « Au XIXème siècle, la publicité des audiences ouvre la possibilité d’une critique par le rire ou la satire. En réaction, au XXème siècle, l’interdit de l’image devient la règle, du moins dans notre pays. Mais à l’aube du XXIème siècle, cette règle est-elle encore d’actualité ? »

Co-organisée par l’ENM et les éditions Dalloz , elle réunira lors d’une table ronde animée par Denis Salas, magistrat et directeur scientifique de la revue, Sylvie Humbert, professeure d’histoire du droit et de la justice à l’Université catholique de Lille, Christine Baron, professeure de littérature comparée à l’Université de Poitiers et Myriam Tsikounas, professeure d’histoire et de communication à l’Université de Paris I.

Invitez vos contacts et retrouvez d’autres informations sur la page de l’événement Facebook.


Mémoire de chaises au jardin du Luxembourg, rencontre avec l’auteur

Samedi 18 mai

La librairie vous a invité à la rencontre de l’artiste peintre et auteur
Bernard Soupre

pour la dédicace de son ouvrage

Mémoire de chaises

Au jardin du Luxembourg


Textes et peintures s’entremêlent dans ce livre qui rend hommage au siège devenu symbole du quartier latin et des flâneries printanières.

 

 


Présentation : Les subalternes et le droit international

2 avril 2019

Les éditions Pedone vous invitent à la présentation de l’ouvrage : “Les subalternes et le droit international” par son auteur Rémi Bachand.

Quel rôle joue le droit international sur les différentes sociétés du monde? Quels sont ses effets sur les différents rapports de domination et d’exploitation qui traversent et structurent ces sociétés? Doit-il être envisagé comme plus avantageux aux groupes dominants ou aux subalternes? Ces derniers devraient-ils en faire leur principale arme de combat contre les différentes formes de subordination, ou ne devrait-il l’utiliser que dans certaines circonstances bien stratégiques? C’est, entre autres, à ces questions que cet ouvrage propose des hypothèses.


Editions Pedone à l’ASIL 2019

28 mars 2019

Les éditions A.Pedone et leurs auteurs
vous  accueillent sur leur stand au sein de l’ASIL 2019

Les 28, 29 et 30 mars 2019 au Washington Hilton
1919 Connecticut Ave NW
Washington, DC 20009

La rencontre annuelle de l’American Society of international Law 2019
étudie cette année le droit international en tant qu’outil
“International Law as an Instrument”
(cliquer pour accéder au programme)